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Assistante Maternelle Agréée Orange 84100

Premiers pas...

 

 

Explosifs et anarchiques, les gestes du nouveau-né vont peu à peu gagner en précision. Au stade du quatre pattes, succède l’apprentissage de l’équilibre sur ses deux jambes. Parmi cet apprentissage au long cours, l’habileté manuelle joue un grand rôle. Découvrez également comment préparer les petites sorties et les grands départs.

Premier gestes et apprentissage de la marche

Premiers pas - BébéLes premiers pas, tous les parents les attendent impatiemment. Si certains bébés passent par le stade quatre patte plus ou moins longtemps, d’autres se lèveront d’un coup ! Pendant ce temps, les gestes deviendront plus précis. Mais n’oubliez pas que l’apprentissage de l’équilibre demande un peu de temps. L’important c’est d’accompagner bébé dans cette autonomie de plus en plus grande.

 

Les regards attendris et la satisfaction des parents encouragent la fierté de l'enfant à effectuer ses premiers pas. Jambes arquées et débuts hésitants entraîneront bien quelques chutes, mais rapidement bébé gagne avec assurance son passeport pour le monde des bipèdes.

La station debout

Bébé marche !Pendant les premières semaines, le nourrisson que l'on tient debout arrondit son dos et laisse tomber sa tête en avant.

A 12 semaines, il redresse la tête et la contrôle bien.
A 20 semaines
, il prend un léger appui sur ses jambes.
A 24 semaines, il s'appuie bien sur ses jambes.
A 30 semaines, il étend complètement ses jambes et saute de joie (si la mère ne l'en empêche pas de peur, de voir ses jambes s'arquer !)

A 36 semaines, il se tient debout contre les meubles si on l'aide.
A 40 semaines, il s'accroche aux meubles pour se mettre debout. Il pointe les fesses en arrière.
A 48 semaines
, il marche de côté en se tenant aux meubles et peut marcher si on le tient par les deux mains.
A 52 semaines (1 an), il marche tenu par une seule main.

Il peut ensuite ne plus faire aucun progrès pendant 4 ou 6 mois. La marche sans appui apparaît en moyenne vers 13 mois. (10 à 16 mois). 3 % des enfants marchent seuls à 9 mois.

C'est vers 19 ou 20 mois que l'on considère généralement que l'absence de marche indépendante est anormale.

En route vers la marche

On peut définir la marche comme l'action de se déplacer vers un but, dans le plan antéro-postérieur, par l'intermédiaire d'une succession d'appuis sur un et deux pieds. Au cours de la marche, le sujet est en position permanente de déséquilibre, au sens mécanique du terme, déséquilibre maximum à la fin de la période d'appui sur un pied.

A 10 mois, l'enfant n'a jamais fait l'expérience de se tenir debout sur un pied, or cette posture correspond dans la marche adulte à 80 % de la durée d'un pas. L'enfant va donc devoir explorer cette propriété fondamentale de la marche afin de la maîtriser et d'acquérir une marche fluide et stable. Au début, l'enfant marche en levant très haut ses jambes et en faisant des pas inégaux dans des directions différentes. Il garde les coudes fléchis et les bras en abduction.

A 15 mois, il ne peut pas lancer une balle sans tomber.

A 16-18 mois, il peut monter un escalier en posant un pied après l'autre sur chaque marche et en se tenant à la rampe.

A 21 mois, il ramasse un objet sans perdre l'équilibre.

A 2 ans, il monte et descend un escalier tout seul en posant les deux pieds sur chaque marche ; il peut donner un coup de pied dans un ballon sans tomber.

A 2 ans et demi, il peut marcher sur la pointe des pieds et sauter mais ne se tient pas sur un seul pied.

A 3 ans, il monte un escalier en mettant un seul pied sur chaque marche mais il le descend encore en mettant les deux pieds sur chaque marche.

 

Plante d'extérieur et intoxication:

 

 
Les promenades dans le jardin peuvent être source de nombreuses découvertes. Mais, le danger peut accompagner ces découvertes, surtout lorsque celles-ci se font auprès des plantes et fleurs qui ornent pourtant si joliment nos jardins.  

Plante d'extérieur et intoxication: les plus dangereuses pour votre enfant

Les lauriers-roses : les feuilles de cette plante verte sont extrêmement toxiques puisqu’une seule feuille ingérée par un adulte peut entraîner sa mort ! ! !.
Alors, méfiez vous de l’idée de votre enfant à utiliser ces feuilles comme herbe sur "ses brochettes" car cela suffit pour transférer à l’aliment une dose mortelle toxique
Les rhododendrons ou azalées : ils sont très vénéneux et ingérer leur tige peut provoquer des troubles cardiaques avec risque de mort par paralysie respiratoire.

 

 
Le lierre : il contient dans ses baies noires un agent toxique qui provoque, à partir de deux ou trois baies, des troubles digestifs et une excitation. En plus grande quantité, l’intoxication peut être mortelle.  
La glycine : avaler les graines de cette plante risque d’entraîner diarrhées et somnolences.  
Le muguet : les feuilles et les fleurs sont susceptibles de donner des troubles digestifs ainsi qu’une arythmie cardiaque. Méfiez vous aussi de l’eau dans laquelle a trempé la plante car cette eau est elle aussi toxique ! ! !  
Le gui : les baies arrondies forment des petites boules blanches qui, desséchées, tombent et peuvent être prises pour des bonbons. Ces baies contiennent un poison dangereux qui entraîne troubles digestifs et cardiaques.  
Les anémones : elles renferment un suc irritant pour les muqueuses oculaires et ingéré, il donne des troubles gastro-intestinaux.  
Et encore : les arums qui provoquent des dermites, les œillets qui engendrent vomissements et diarrhées, les tulipes dont les feuilles et les bulbes donnent des troubles nerveux, les giroflées cardiotoxiques et le gypsophile.

 

Savoir protéger son enfant du risque d'intoxication par une plante d'extérieur

- placez si possible des clôtures au pied de la plante toxique,
- évitez de planter certaines plantes trop toxiques,
- apprenez à votre enfant qu'il leur est interdit de manger une plante, une baie ou une fleur et expliquez lui les conséquences,
- apprenez à votre enfant à reconnaître les plantes toxiques,
- ne plantez pas de plantes dangereuses à proximité de leurs aires de jeu, de la balançoire ou de leur bac à sable,
- pensez à vous laver les mains après le jardinage et avant de jouer avec bébé.

Savoir réagir après intoxication par une plante d'extérieur
En cas de contact par la plante verte :

1) Rincez abondamment la peau à l'eau en laissant couler de l'eau propre sur la partie contaminée pendant au moins 15 minutes,
2) Ne laissez pas l'enfant au soleil,
3) N'appliquez ni crème, ni pommade sans avis médical,
4) Consultez un médecin ou demandez conseil à un pharmacien ou à un centre anti-poison.

En cas d'ingestion de la plante verte et si l'enfant est conscient:
1) Sortez les morceaux de plante qui restent dans la bouche de l'enfant et conservez-les.
2) Donnez-lui à boire beaucoup d'eau.
3) Appelez le centre anti-poison, un médecin ou composez le 15, sans attendre l'apparition de symptômes.
4) Ne faites pas vomir votre enfant sans avis médical mais si il vomit de lui même, conservez la vomissure. Ainsi, soyez vigilant et surveillez bien votre bébé dans ses découvertes botaniques.

 

La pharmacie premiers secours :

 

JE TIENS A PRECISER QUE  LES ASSISTANTES MATERNELLES NE DOIVENT PLUS DONNER DE MEDICAMENTS AUX ENFANTS. LE MEDECIN PEUT FOURNIR UN PROTOCOLE DE SOINS (SI BESOIN) ET LES PARENTS SIGNER UNE AUTORISATION .

TROP DE REACTIONS  ALLERGIQUES SE SONT PRODUITES .

Cette pharmacie est donc conseillée à titre indicatif pour les mamans.

N'attendez pas la blessure pour acheter les produits nécessaires aux soins !

  • 1 flacon de teinture mère d'Arnica Montana,
  • des pansements,
  • des compresses stériles et sparadrap anti-allergique,
  • 1 pommade calmante (style Biafine),
  • 1 pince à épiler réservée aux soins uniquement,
  • 1 paire de ciseaux à bouts ronds,
  • des antiseptiques asséchants,
  • 1 thermomètre électronique,
  • des dosettes de sérum physiologique,
  • 1 pommade anti-démangeaison (style Parfenac),
  • 1 gel pour calmer la douleur des dents(style gel Delebarre),
  • du paracétamol pour la fièvre ou les maux de dents (Doliprane ou Efferalgan pédiatrique, en suppositoire ou sirop).
  • arnica en 7 ou 9 ch en cas de cognement.

 

Les maladies infantiles :

 

Vous trouverez regroupées ici les quatre maladies infectieuses les plus courantes chez les enfants. Ces maladies qui évoluent le plus souvent par petites épidémies, quelquefois saisonnières et souvent très impressionnantes.
Elles sont pourtant bénignes chez les enfants qui ont alors un niveau immunitaire plus important que les adultes. Ces derniers vivraient d'ailleurs beaucoup plus mal ces maladies infectieuses.
Cependant, des complications peuvent en découler et provoquer beaucoup de désagréments pour la vie future, ou pour les proches.

Mais étudions plus précisément ce que sont ces maladies et comment les enrayer...

La varicelle :

La varicelle est une maladie infectieuse éruptive et immunisante (on ne l'aura pas deux fois !). Elle survient en général entre 2 et 10 ans, et provoque de fortes démangeaisons. Elle dure environ 12 jours.
Le virus de la varicelle est le même que celui du zona (qui n'est en fait qu'une résurgence de la varicelle).
Une particularité de la varicelle est que son éruption n'a pas d'endroit précis, c'est-à-dire que vous pouvez trouver des boutons sur le cuir chevelu comme sur la paume des mains, les organes génitaux, ou encore dans la bouche...
L'incubation de la varicelle dure environ 15 jours.

Contagion :

La contagion à une durée d'environ 8 jours après l'arrivée des premières vésicules (et non des boutons). Une éviction scolaire de 10 à 15 jours est obligatoire même si l' enfant est en forme.
Le malade n'est plus contagieux lorsque toutes les vésicules sont sèches.

Symptômes :

L'éruption survient tout d'un coup, sur tout le corps, par poussées, et cela après une fièvre plus ou moins élevée (voire inaperçue). Il s'agit de petits boutons roses très espacés les uns des autres, qui se transforment en petites vésicules (cloques). Celles-ci se percent, puis sèchent, laissant alors une croûte qui disparaîtra en une dizaine de jours.

Soins :

Il faut surtout empêcher votre bébé de se gratter et d'enlever ces croûtes sinon cela laisserait des cicatrices permanentes. Pour cela, coupez-lui les ongles très régulièrement. Votre médecin pourra également vous prescrire des antistaminiques pour calmer ses démangeaisons.
Les vésicules seront désinfectées quotidiennement à l'aide d'un antiseptique non irritant, prescrit par votre médecin traitant, jusqu'à l'arrivée des croûtes.
Un vaccin est actuellement en cours d'étude.

Complications :

Elles sont exceptionnelles. Il s'agit de surinfections dues au grattage. Un simple bouton peut alors devenir purulent puis se transformer en abcès (accompagné de fièvre).
Pour éviter tout risque de surinfection, veillez à ce que votre enfant ait toujours les mains propres, au cas où il se gratterait.

La rougeole :

La  rougeole est une maladie virale très contagieuse qui survient par épidémies, en général en fin d'hiver et début de printemps, et touche essentiellement les enfants de 1 à 3 ans qui ne sont pas vaccinés et qui ne sont plus immunisés par les anticorps de leur mère.
Elle est la plus fréquente des fièvres éruptives. Elle est immunisante, il est très rare de la contracter une deuxième fois. Elle dure 10 à 20 jours environ.
Une particularité de cette maladie est que l'organisme de l'enfant peut garder le virus vivant pendant plusieurs années.

Depuis quelques années, les médecins ont constaté une augmentation régulière des cas de rougeole. Celle-ci est due à un trop faible taux de vaccination. En effet, la seule façon de combattre cette maladie est la vaccination.

L'incubation de la rougeole est de 10 jours avant l'arrivée des premiers symptômes.

Contagion :

La contagion est à son maximum dans les 3 jours précédant l'arrivée des boutons (pendant la fièvre). Prenez garde à ce que votre enfant n'approche pas de femme enceinte (risque de naissance prématurée)
Votre bébé reste contagieux jusqu'à la disparition totale des boutons, c'est pourquoi une période d'éviction de la durée de la maladie est fortement conseillée.

Symptômes :

Une fièvre élevée (39 à 40 °C), puis un écoulement nasal, des larmoiements, une toux sèche. Vous constaterez également un manque d'entrain et d'appétit, la rougeole est une maladie très éprouvante physiquement. Arrivent ensuite des petits boutons blancs à l'intérieur des joues qui disparaissent lors de l'éruption cutanée sur le corps. Celle-ci dure environ une semaine. Il s'agit de boutons rouges foncés qui apparaissent d'abord sur le visage et couvre petit à petit tout le corps.

Soins :

Mettre l'enfant au lit et le faire boire abondamment et régulièrement, surtout lors de la fièvre.
Mis à part des médicaments pour faire baisser la fièvre ou pour calmer la toux, il n'existe pas de médicament contre la fièvre. En revanche, la prévention par la vaccination est le meilleur remède.
Le vaccin R.O.R. (Rougeole, Oreillons, Rubéole) se fait à partir de 1 an (voire 9 mois si votre enfant est gardé en crèche). Il y a alors un rappel qui doit être fait entre 3 et 6 ans, puis vers 11 ans pour les plus grands.

Complications:

Plus l'âge de l'enfant est avancé lors de l'infection, plus il y a de risque de complications (otites, laryngites, broncho-pneumonies, encéphalites...).
On compte chaque année plusieurs décès dus aux complications de la rougeole. Elles peuvent parfois être graves et ne se manifester que des années après l'infection d'origine.

Les oreillons :

Il s'agit d'une maladie virale qui touche surtout l'enfant à partir de 3 ans et scolarisé, rarement avant. Elle dure de 5 à 15 jours environ. Comme pour la rougeole, seule la vaccination peut permettre d'éviter la maladie.
Après une incubation de 21 jours, les premiers symptômes apparaissent.

Symptômes :

Une fièvre plus ou moins élevée, des maux de tête puis des difficultés à ouvrir la bouche, à mastiquer et à avaler. Puis le plus souvent, un gonflement douloureux sous chaque oreille et sous la machoire pendant environ 3 jours.

Soins :

Laissez votre enfant au lit afin qu'il se repose.
Vous pouvez lui donner une dose adéquate de paracétamol, en sirop ou suppositoire, adapté à son âge et à son poids, pour faire baisser la fièvre et calmer la douleur.

Complications :

Plus l'enfant est grand, plus le risque de complications est important. Celles-ci sont rares mais sérieuses. Il s'agit de méningites des oreillons, encéphalites, surdités transitoires (voire définitives).

La rubéole :

La rubéole est une maladie virale difficile à reconnaître et qui de plus passe souvent inaperçue, car ses symptômes sont peu nombreux. Elle dure environ une semaine.
Elle est bénigne chez l'enfant mais dangereuse chez la future mère et son bébé.

L'incubation de la rubéole est de 15 jours avant l'arrivée des premiers symptômes.

Contagion :

La contagion à une durée d'environ 8 jours suivant l'arrivée des boutons. Prenez garde dès lors à ce que votre enfant n'approche pas de femme enceinte.

Symptômes :

Parfois une fièvre plus ou moins élevée. Une éruption de boutons, et l'apparition de ganglions.

Soins :

Vous pouvez lui donner une dose adéquate de paracétamol, en sirop ou suppositoire, adapté à son âge et à son poids, pour faire baisser la fièvre. Comme pour la rougeole et les oreillons, le meilleur traitement reste la prévention de la maladie par la vaccination.

Complications :

Le danger, si danger il y a, ne vient pas des complications mais du risque de contamination pour une future maman  et donc pour son foetus. Il s'agirait alors d'une rubéole congénitale.
Si la mère contracte l'infection pendant les 3 premiers mois de sa grossesse, le foetus pourrait alors développer des malformations graves, qu'elles soient neurologiques (déficience mentale), cardiaques, oculaires (cécité) ou auditives (surdité). On propose alors une interruption thérapeutique de grossesse. Pour éviter cela, des tests sont faits systématiquement en France, en début de grossesse, afin de savoir si la mère a déjà eu la rubéole.
Il est même conseillé aux futures mères de vérifier leur état d'immunité et, si le test est négatif, de se faire vacciner sous couvert de contraception.

 

Le soleil et bébé ... prudence !

 

 

Le soleil est bon pour le moral et la santé physique, il apporte bien-être et vitamine D, essentielle à la croissance et à la solidité des os. Mais l'excès de soleil est néfaste pour la peau, d'autant que nous ne sommes pas tous égaux face au soleil selon la pigmentation de notre peau et notre âge.
La peau de bébé est d'ailleurs beaucoup plus sensible aux ultra-violets que celle des adultes, car plus fine et peu pigmentée, elle n'est pas encore prête à se défendreLe soleil est bon pour le moral et la santé physique, il apporte bien-être et vitamine D, essentielle à la croissance et à la solidité des os. Mais l'excès de soleil est néfaste pour la peau, d'autant que nous ne sommes pas tous égaux face au soleil selon la pigmentation de notre peau et notre âge.
La peau de bébé est d'ailleurs beaucoup plus sensible aux ultra-violets que celle des adultes, car plus fine et peu pigmentée, elle n'est pas encore prête à se défendre

Les abus de soleil ainsi que les coups de soleil accumulés pendant l'enfance augmentent le risque de développer un cancer de la peau à l'âge adulte.
Les coups de soleil sont des indicateurs d'excès d'exposition mais également des brûlures (plus ou moins graves selon l'exposition), il faut donc limiter son exposition avant l'apparition d'une rougeur, surtout avant l'âge de 15 ans

 

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